Dans Rue de Palanka, on retrouvera une vie de danseuse, celle de Mathilde Altaraz. Allusions, chocs du privé et de l’artistique. Quelque part je serai là. Je me servirai du réel pour le détourner. Comme dans une fiction le romancier s’inspire de ce qu’il a vécu, avec le corps pour mémoire.
Si il existait le Coteur Labus serait un médicin de l’amour, spécialisé dans l’écoute des vagues amoureuses. En quatre couples, il nous raconte la musique des corps, le roman des corps et surtout sa vie aventureuse, fausse et mensongère, comme un solitaire sadien et bonhomme.
Jean-Claude Gallotta